Lenny Kravitz à Paris : un rockeur dans l’antre d’un gentleman

Par La Rédaction
Publié le 22 novembre 2024

Paris, ville des paradoxes et des recoins cachés, est devenue le quartier général de Lenny Kravitz. Pas vraiment un palace clinquant en haut de la tour Montparnasse, ni un loft froid et minimaliste quelque part dans le Marais. Non, Lenny Kravitz a choisi le cœur tranquille du XVIe arrondissement, un quartier aux antipodes de l’image tapageuse de la rockstar. Sa demeure ? Un hôtel particulier élégant, à l’allure presque bourgeoise. Mais attendez la suite : derrière cette façade bien sous tous rapports se cache un univers singulier, un microcosme où les soirées sauvages côtoient des pièces dignes de musées.

 

Lenny Kravitz à Paris : un rockeur dans l'antre d'un gentleman

Lenny Kravitz à Paris : un rockeur dans l’antre d’un gentleman

Entre héritage et glamour

Pourquoi ce quartier ? On pourrait se demander si un musicien au style rebelle comme Lenny Kravitz ne serait pas plus à l’aise dans un loft industriel. Mais cette demeure est loin d’être un choix anodin. Située dans une rue discrète, elle incarne une dualité parfaitement en phase avec le personnage. Ici, l’histoire et le chic se mélangent à la flamboyance, rappelant l’époque où cette bâtisse servait de demeure au maire de Deauville, un détail qui ajoute une note de prestige et d’ironie à l’histoire.

Il est certain que Paris fascine Kravitz depuis plus de trois décennies. Une fascination qui l’a mené à choisir cette maison, massive, presque théâtrale, mais qui révèle bien plus qu’une simple adresse de rockstar. Elle témoigne d’une volonté d’enraciner un mode de vie, d’inscrire son nom dans une lignée culturelle bien parisienne, presque comme une passerelle entre l’esprit rebelle des années 70 et l’élégance millimétrée du Paris éternel.

 

Le contraste saisissant entre la façade et le style de vie de Kravitz

Pour l’extérieur, on croirait entrer dans un lieu où chaque meuble serait méticuleusement entretenu, un endroit où l’on ne tolérerait aucun grain de poussière. Mais à l’intérieur, Lenny Kravitz en a fait un sanctuaire, un lieu de vie où règne l’art sous toutes ses formes. Et là où tout devient vraiment fascinant, c’est en descendant au sous-sol.

Oui, vous avez bien lu. Sous les tapis luxueux et les plafonds dorés, il y a un sous-sol transformé en véritable bar clandestin, un repaire pour les noctambules avertis. Ce qui était au départ un simple fumoir est devenu un lieu à l’ambiance tamisée, où les bouteilles de Dom Pérignon vintage s’entassent sur les étagères et où les invités triés sur le volet dansent jusqu’à l’aube. Ce sous-sol est comme un clin d’œil, un pied de nez aux conventions bourgeoises. C’est aussi le lieu de décompression de Lenny, un univers fait de vieilles affiches de films, de tables de bistrot et d’un joyeux chaos organisé.

 

Lenny Kravitz à Paris : un rockeur dans l'antre d'un gentleman

 

L’âme secrète du sous-sol : le speakeasy de Kravitz

En passant la porte de cette imposante demeure, on se retrouve face à un cadre qui respire le classicisme : des plafonds dignes d’un château, des murs immaculés et un mobilier où chaque détail semble pesé au gramme près. Mais descendez d’un étage, et vous basculez dans une autre dimension. Bienvenue dans le repaire secret de Lenny Kravitz : un véritable speakeasy caché sous les dorures, un lieu à l’image de son propriétaire — énigmatique, extravagant et délibérément décalé.

Ce sous-sol n’était au départ qu’une modeste chaufferie. Rien de glamour. Mais, à l’image de Lenny Kravitz, cette pièce a évolué, s’est métamorphosée pour devenir bien plus qu’un simple fumoir. On pourrait presque y voir une allégorie de la carrière de Lenny Kravitz : un début modeste, mais un destin flamboyant.

En parcourant le dédale de couloirs sombres pour y accéder, on a la sensation de s’enfoncer dans un espace hors du temps, coupé du monde extérieur. Les murs, autrefois austères, se sont remplis d’affiches de films et de tableaux improvisés, rappelant l’ambiance des grands bars clandestins de New York des années 1920.

La transformation est le résultat d’années de petites modifications, d’objets ajoutés au fil du temps, et surtout d’une touche personnelle que seul Lenny Kravitz pourrait concevoir. Le lieu respire une atmosphère de nuit sans fin, d’une fête qui semble prête à recommencer à tout moment.

 

Une déco déjantée entre films cultes et nostalgie vintage

Pour ceux qui auraient l’honneur de pénétrer dans ce lieu, la première impression est celle d’un joyeux chaos organisé. Ici, chaque objet raconte une histoire, chaque affiche est un clin d’œil. Un mélange de meubles de bistrot récupérés, de vieilles tables et chaises dépareillées, quelques tapis persans usés, qui contrastent avec les bouteilles de Dom Pérignon millésimé qui se dressent en toile de fond.

Et cet aménagement ne doit rien au hasard : il est aussi intuitif que la musique de Lenny Kravitz elle-même. Une vieille table à manger se cache derrière un paravent usé, des lumières tamisées ajoutent une touche intimiste. On se croirait presque dans l’appartement d’un Dandy des années 70, un endroit où les discussions philosophiques et les confidences de fin de nuit viennent naturellement. Le choix des objets, souvent rétro, est autant un hommage aux années rock qu’un acte de rébellion face aux intérieurs ultramodernes et aseptisés.

Dom Pérignon et nuits sans fin

Lenny Kravitz le confie : ce sous-sol est plus qu’un lieu de fête, c’est un exutoire, une échappatoire. En bon connaisseur, il a veillé à ce que les meilleures bouteilles y trônent. Dom Pérignon, Perrier-Jouët, tous les grands crus sont là, rangés soigneusement, mais accessibles pour ceux qui savent apprécier une certaine qualité de vie. C’est là que les nuits s’étirent, que les âmes s’épanchent et que les anecdotes prennent des airs de légendes.

Loin des foules et des flashs des paparazzi, ce sous-sol est l’antre personnel d’un homme qui refuse de se conformer. Lenny n’est pas là pour jouer les rockstars en représentation. Dans ce sous-sol, on entre dans le sanctuaire d’un artiste qui n’a jamais eu peur de brouiller les pistes, d’explorer des territoires inconnus, et de transformer des espaces oubliés en lieux de culte du plaisir et de la liberté.

 

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La quête de Lenny Kravitz pour un lieu à Paris

Il est facile d’imaginer qu’une rockstar comme Lenny Kravitz aurait un sens aigu pour choisir ses repaires. Pourtant, l’histoire de sa recherche d’une adresse à Paris est loin des clichés glamour. C’est dans cette quête d’un chez-soi que l’on perçoit toute la profondeur d’un homme qui refuse les codes établis. Pour Lenny, Paris n’était pas juste une escale ; c’était une ville avec une âme qui l’attirait autant que sa musique l’avait emporté en Europe des années plus tôt.

Une recherche pas si anodine pour une star de son calibre

Quand il a atterri au Georges V après une tournée éreintante, son objectif était simple : trouver un espace modeste mais avec une âme. Il ne cherchait pas un palace ni même un loft moderne. En fait, ce qu’il avait en tête ressemblait plus à un studio de musicien avec une grande salle de réception pour ses instruments, un lieu où il pourrait à la fois créer et se retrouver seul. Mais les choses ne se passent jamais comme prévu, et son agent immobilier, déterminé à lui trouver la perle rare, avait une surprise en stock.

Après plusieurs visites sans coup de cœur, son agent lui parle d’un immeuble dans le XVIe. Un quartier qui n’avait rien à voir avec son style rock’n’roll. Son réflexe ? Refuser catégoriquement. Pourquoi une star de son rang irait-elle s’installer dans un quartier si calme, si bourgeois ? Mais face à l’insistance de son agent, il finit par accepter. Lenny raconte lui-même l’étrangeté de ce moment, comme un signe qui l’attendait.

 

 

L’arrivée inattendue dans un espace qui le dépasse

Lorsqu’il est arrivé devant cette majestueuse façade, Lenny était loin de s’attendre à ce qui l’attendait. En regardant l’immeuble, il a demandé, perplexe, « À quel étage c’est ? » Son agent lui répond calmement : « C’est tout l’immeuble. » Il en rit encore, comme si cette découverte relevait d’une scène de film. Et pourtant, quelque chose dans ce lieu l’a immédiatement touché.

En traversant le couloir pour la première fois, il a su. « Oh, merde… » se souvient-il d’avoir murmuré. Cet endroit avait tout : le silence nécessaire pour ses moments de recueillement, la grandeur pour ses soirées intimes, et une énergie particulière, presque mystique, qui l’appelait.

Ce n’était pas un espace impersonnel comme un studio chic, mais une maison avec une histoire, un passé qui semblait l’accueillir et le relier aux générations précédentes de créateurs, d’artistes, et d’âmes solitaires en quête de beauté.

L’immeuble entier pour un seul homme

Cette maison a fait bien plus qu’impressionner Lenny ; elle lui a offert un espace de liberté, sans compromis. La décision était prise : ce ne serait pas un appartement moderne, mais tout un immeuble historique dans lequel il pourrait ancrer ses racines. Il en a fait son royaume, un espace de contraste où se côtoient l’histoire et le présent, le calme et l’effervescence des fêtes nocturnes.

Pour Lenny Kravitz, cet immeuble dans le XVIe n’est pas qu’une adresse. C’est un sanctuaire, un lieu à l’abri des regards, à mille lieues de l’agitation de Los Angeles ou de New York. Il y a vu l’endroit idéal pour cultiver son art, sa paix intérieure, et sa vie de bohème. Car si Lenny est un homme du monde, Paris reste son port d’attache, le centre de gravité où il retourne pour se ressourcer et nourrir sa créativité.

 

lenny kravitz Paris 3

 

La vie quotidienne de Lenny Kravitz à Paris : loin des clichés de rockstar

Imaginez une star du rock se levant chaque matin sous les dorures d’un immeuble haussmannien, traversant ses pièces aux plafonds vertigineux, un café à la main. On pourrait penser qu’il s’agit là d’un caprice de célébrité, mais pour Lenny Kravitz, la réalité est bien plus terre à terre.

Entre les murs de son palais parisien, il cultive une vie à contre-courant des paillettes, où se mêlent humilité, amour de l’art, et un sens de la discipline hérité de son éducation stricte. Lenny Kravitz n’est pas simplement une rockstar qui collectionne les maisons ; il est un créateur d’espaces qui incarne ses valeurs et son histoire dans chaque recoin.

Un espace qui mélange icônes et objets d’art

La première chose qui frappe lorsqu’on pénètre dans son intérieur ? La diversité des objets culturels et pop qui ornent chaque pièce. Ici, un Warhol s’associe à un Basquiat, là, des chaussures vintage de James Brown côtoient un chandelier conçu par Lenny Kravitz lui-même.

Cette maison n’est pas une simple accumulation de richesses ; c’est une ode aux artistes qui l’ont inspiré, aux héros de son enfance et aux légendes qui continuent de nourrir sa créativité. Chez Kravitz, chaque objet est un morceau de son âme, un souvenir d’une époque, un hommage silencieux à ses mentors et idoles.

Sa salle de réception, par exemple, est un véritable temple dédié à la culture rock et soul. Entre une paire de bottes de James Brown et des pièces d’art originales, il a créé une ambiance unique, oscillant entre le musée et le salon privé, un lieu de vie à part entière où les inspirations se croisent et s’entrecroisent. Ce salon, baigné de lumière naturelle, reflète autant la profondeur de sa passion pour l’art que son besoin d’ancrage. Lenny Kravitz  le dit lui-même : ce n’est pas un espace pour exhiber sa fortune, mais un lieu où l’art raconte son histoire.

Les héros personnels dans chaque coin

Lenny n’a pas que des œuvres d’art ; il vit entouré de ses icônes personnelles. De Muhammad Ali à James Brown, chaque pièce raconte la vie et les combats de ces figures qui l’ont façonné. Le soir venu, il déambule entre les bottes d’Ali et une réplique de la moto d’Easy Rider, comme pour se rappeler d’où il vient et pourquoi il continue à avancer. Ces objets, ce sont ses « gardiens », ses repères dans un monde où tout bouge trop vite.

Dans un coin de sa bibliothèque, qui fait face à un mur recouvert de miroirs, se trouve une collection impressionnante de bottes de James Brown. Comme une relique sacrée, chaque paire évoque l’héritage d’une époque, un hommage à l’icône qui a, quelque part, modelé son propre style. Pour Lenny Kravitz, chaque objet possède une âme, et ces reliques sont comme des totems, ancrant son espace dans une dimension intemporelle.

 

Lenny Kravitz à Paris : un rockeur dans l'antre d'un gentleman

 

Un quotidien hors du commun, pourtant ancré dans une rigueur héritée

Il y a quelque chose de fascinant dans le contraste entre son image publique de rockeur décontracté et l’homme discipliné et profondément réfléchi qu’il est en privé. Kravitz attribue cette rigueur à son éducation stricte. Il se souvient encore de sa mère, exigeante sur les détails, qui lui enseignait l’importance de la précision et de la persévérance. Faire le lit au millimètre, ranger la cuisine avant de dormir, tout devait être parfait. Ce sont ces petits gestes, hérités de son enfance, qui l’ont aidé à rester ancré dans un univers où les excès sont omniprésents.

Ce quotidien en apparence paisible contraste avec les excès et les tumultes de la vie de rockstar, mais pour Kravitz, c’est cette discipline qui lui a permis de durer. Il aime Paris pour la structure et le calme qu’elle lui apporte, loin de l’agitation constante des États-Unis. Ici, il peut se ressourcer, se retrouver et cultiver cette simplicité qui lui est chère, tout en restant proche de sa fille Zoë, pour qui il est autant un père qu’un guide.

Zoë Kravitz et les valeurs de la famille

Dans cet univers feutré, Zoë Kravitz occupe une place centrale. Lenny Kravitz, souvent perçu comme un homme solitaire, est en réalité profondément attaché à sa fille, qu’il considère autant comme une amie que comme un trésor. Leur relation est un exemple rare de complicité entre père et fille, construite sur des valeurs de respect et d’indépendance. Elle partage son amour pour la culture, son goût de l’art et son besoin de liberté, un mélange unique qui fait leur force et leur lien indéfectible.

Lorsqu’il parle de Zoë, son visage s’illumine d’une fierté discrète. Elle est pour lui une source d’inspiration, une preuve que les valeurs qu’il a transmises prennent racine. Loin des schémas classiques de la paternité, Lenny Kravitz laisse sa fille faire ses propres choix, même s’il observe de loin, avec bienveillance. Leur relation est un miroir de ses propres valeurs : un équilibre parfait entre liberté et responsabilité, ancrée dans une profonde admiration mutuelle.

 

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Paris, les Bahamas, et l’éternelle quête de Lenny Kravitz

Lenny Kravitz pourrait être n’importe où. Mais, au bout du compte, c’est à Paris qu’il a choisi de poser ses valises, de construire un lieu à son image : élégant, secret, et décalé. Entre ses tournées, sa maison aux Bahamas, et sa ferme au Brésil, Paris reste son ancrage, la ville où il revient pour se retrouver, loin des projecteurs et du bruit. Kravitz, en bon artisan de sa propre légende, défie les clichés et embrasse les paradoxes. Il prouve, encore et encore, que même dans un monde qui change à la vitesse de l’éclair, il est possible de rester fidèle à soi-même tout en évoluant.

Avec son style rock’n’roll intemporel et son attachement profond aux valeurs familiales, Lenny Kravitz continue d’être une figure emblématique, un pont entre plusieurs générations. Pour lui, la musique, l’art, et la famille ne font qu’un, une trinité qui le guide et l’inspire. Dans ses propres mots, il ne fait que commencer, et Paris n’est qu’une étape dans un voyage qu’il n’a pas fini d’écrire.

 

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FAQ – Lenny Kravitz en 10 questions

 

Qui est Lenny Kravitz ?

Lenny Kravitz est un chanteur, compositeur, et multi-instrumentiste américain, célèbre pour sa fusion de rock, funk, soul, et reggae. Il est également acteur et designer, connu pour son style unique et son influence dans le monde de la musique depuis les années 90.

Quel est l’album le plus célèbre de Lenny Kravitz ?

Lenny Kravitz est notamment connu pour l’album Are You Gonna Go My Way (1993), qui contient plusieurs de ses titres phares. Ce disque, ainsi que des morceaux comme Fly Away et American Woman, l’ont propulsé au rang de rockstar internationale.

Lenny Kravitz a-t-il des enfants ?

Oui, Lenny Kravitz a une fille, Zoë Kravitz, née en 1988 de son mariage avec l’actrice Lisa Bonet. Zoë est une actrice, chanteuse et mannequin, et elle partage une relation très proche avec son père.

Où Lenny Kravitz habite-t-il ?

Lenny Kravitz partage son temps entre plusieurs résidences : un appartement à Paris, une maison aux Bahamas et une ferme au Brésil. Paris est l’une de ses bases principales, où il trouve un équilibre entre sa vie d’artiste et une certaine tranquillité.

Lenny Kravitz est-il impliqué dans d’autres projets que la musique ?

Oui, en plus de sa carrière musicale, Lenny Kravitz est également designer. En 2003, il a lancé Kravitz Design, une entreprise de design d’intérieur et de mobilier, collaborant sur des projets variés allant d’hôtels de luxe à des résidences privées. Il a aussi joué dans plusieurs films et séries, notamment The Hunger Games et Precious.

Comment Lenny Kravitz a-t-il commencé sa carrière musicale ?

Lenny Kravitz a démarré sa carrière dans les années 80, mais c’est avec son premier album Let Love Rule (1989) qu’il a trouvé son public. Son mélange de rock et de soul, couplé à son style rétro, a immédiatement attiré l’attention, surtout en Europe.

Quels sont les instruments joués par Lenny Kravitz ?

Lenny Kravitz est un multi-instrumentiste talentueux. Sur ses albums, il joue souvent de la guitare, de la basse, de la batterie et du clavier, en plus de chanter. Cette maîtrise lui permet d’être indépendant et de donner une touche très personnelle à ses enregistrements.

Quel est le style vestimentaire de Lenny Kravitz ?

Lenny Kravitz est célèbre pour son style rock-bohème unique, inspiré des années 70. Il mélange souvent cuir, bijoux ethniques, foulards et lunettes de soleil, un style qui reflète sa personnalité et ses influences musicales.

Lenny Kravitz a-t-il des inspirations musicales particulières ?

Oui, les inspirations de Kravitz vont des grands noms du rock et de la soul comme Jimi Hendrix, Prince, James Brown, et The Beatles, jusqu’à des influences funk et reggae. Il a réussi à créer un son unique en mélangeant ces genres avec une touche personnelle.

Lenny Kravitz est-il encore actif dans l’industrie de la musique ?

Oui, Lenny Kravitz continue à enregistrer et à se produire en concert. Son dernier album, Blue Electric Light, est sorti cet été, et il a exprimé son désir de continuer à créer et à expérimenter dans la musique pour de nombreuses années encore. Sa tournée française débute le 22 février 2025.

 

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