Rock’N Drôle au Bon Marché : photos cultes & cadre high-tech

Du 30 août au 19 octobre 2025, c’est le rock qui s’invite au Bon Marché. Et pas n’importe comment. Sous la bannière décalée de “Rock’N Drôle”, IONNYK, la pépite belge du cadre d’art connecté, revient pour une deuxième saison explosive entre photographie, technologie et riffs mémoriels. On connaît le Bon Marché pour ses vitrines arty et ses partis pris audacieux. On l’attendait pas forcément dans les caves d’Hammersmith ou sur les routes crasseuses des tournées 70s. Et pourtant. Pour cette rentrée 2025, le grand magasin de la Rive Gauche met le feu aux étagères avec une expo immersive dédiée à l’univers du rock, parrainée par un Antoine de Caunes plus Didier Lembrouille que jamais et expose les photographes Paul Coerten & Eric CANTO.

Dans ce décor vibrant, IONNYK tire les câbles (ou plutôt les supprime) et propose une expérience visuelle unique : des photographies rock exposées dans des cadres sans fil, sans lumière, mais avec une intensité brute, comme un vinyle en noir et blanc qu’on ferait tourner au mur.

Le Bon Marché, c’est quoi ?

Le Bon Marché n’est pas juste un grand magasin parisien : c’est littéralement le temple originel du shopping moderne. Créé au XIXe siècle par Aristide Boucicaut, il a révolutionné le commerce en inventant des concepts qui nous paraissent évidents aujourd’hui : prix fixes affichés (fini le marchandage), entrée libre (on peut flâner sans obligation d’achat), retour possible des articles (le service client avant l’heure) et mise en scène spectaculaire des produits.

Situé rive gauche, au cœur de Saint-Germain-des-Prés, Le Bon Marché est devenu bien plus qu’un simple lieu d’achat : c’est un espace culturel, arty et branché, où les grandes maisons de mode côtoient les designers émergents, et où l’on vient autant pour voir et être vu que pour repartir avec un sac sous le bras. En bref : le Bon Marché, c’est la haute couture du grand magasin, une adresse mythique où l’élégance parisienne s’écrit depuis près de deux siècles.

 

Deux regards. Une même fièvre.

Deux signatures photographiques à l’affiche : Paul Coerten, documentariste de l’âge d’or seventies & Eric CANTO, œil affûté des scènes hexagonales. Autant dire que l’électricité dans l’air est palpable. Mention spéciale à ce photographe qu’on connaît bien chez Rock Sound (on t’a vu, Eric), dont les clichés mordent comme une ligne de basse de Lemmy. Entre souvenirs mythiques et esthétique contemporaine, l’expérience visuelle est totale – le cadre numérique IONNYK, sans câble ni lumière bleue, joue le rôle d’un vinyle pour les yeux.

Entre les deux, un dialogue photographique : la rage des concerts captée en pleine fureur et l’aura mythique des années vinyle. Une claque visuelle, à découvrir sur les fameux cadres IONNYK, ces rectangles de technologie belge qui réinventent l’exposition d’art à domicile.

 

IONNYK, le cadre qui valait 10 000 décibels

Pour ceux qui ne connaissent pas encore IONNYK : c’est le premier cadre d’art connecté sans câble, basé sur le papier électronique, le même que celui de votre liseuse, mais en version haut-de-gamme. Aucun rétroéclairage, une autonomie d’un an, une appli mobile pour switcher les œuvres selon votre humeur, vos potes ou la météo — et un rendu argentique bluffant.

On parle d’un objet design, black metal, muse-level quality, qui transforme vos murs en galerie privée, capable de faire défiler des œuvres ou de figer une icône. Un “Spotify” de la photographie d’art, avec 10 œuvres mensuelles offertes, un abonnement Discovery aux petits oignons, et même la possibilité de faire imprimer vos propres clichés en édition prestige.

Et dans ce monde visuel en perpétuel mouvement, l’expo “Rock’N Drôle” s’intègre comme un manifeste : célébrer l’énergie du rock tout en montrant ce que peut devenir une œuvre dans le salon du futur.

Où, quand, comment ?

📍 Le Bon Marché Rive Gauche, 24 rue de Sèvres, Paris – Espace Maison, 1er étage
🗓️ Du 30 août au 19 octobre 2025
IONNYK participe aussi à la Paris Design Week (4-13 sept) et sera présent à Maison&Objet

Une expo immersive, sensorielle, élégante et vibrante.

On vous conseille d’y aller les yeux grands ouverts — et si vous croisez un photographe avec des stories de backstage plein les poches… vous savez déjà qui c’est.